Philippe Kenel
Les 25 raisons de voter non à l’initiative « Halte aux privilèges fiscaux des millionnaires (abolition des forfaits fiscaux) »
- Voter oui = offrir un tremplin à la gauche pour les élections fédérales de 2015
- Voter oui = ouvrir la porte à toute sorte d’initiatives dirigées contre les classes moyennes et supérieures
- Voter oui = déstabiliser le système fiscal suisse
- Voter oui = ouvrir la voie à la suppression des déductions fiscales
- L’impôt d’après la dépense est un excellent outil de promotion économique
- En réformant l’impôt à forfait en 2012, le parlement a déjà voté le contre-projet à l’initiative
- L’impôt d’après la dépense correspond aux exigences du fédéralisme helvétique
- L’impôt à forfait équilibre la concurrence entre les cantons suisses
- L’impôt d’après la dépense n’est pas contraire au principe de l’égalité et au paiement de l’impôt en fonction de la capacité contributive du contribuable
- Ni l’UE, ni l’OCDE ne demandent à la Suisse de supprimer cette forme d’imposition
- Voter oui = se priver de plus d’un milliard d’impôts
- Les forfaitaires ne paient pas que des impôts en Suisse
- Voter oui = se priver de 1,4 milliard de dépenses faites par les forfaitaires en Suisse
- Voter oui = se priver de plus de 22'000 poste de travail
- Voter oui = pénaliser le monde culturel et associatif
- Voter oui = péjorer encore un peu plus la situation des banques
- L’impôt d’après la dépense rapporte beaucoup et coûte peu
- L’impôt à forfait garantit des revenus fixes aux collectivités publiques
- Voter oui = créer l’exode des personnes étrangères fortunées et stopper leur installation en Suisse
- La Suisse doit conserver le peu de conditions-cadres favorables qui lui reste
- La Suisse est entourée d’Etats qui tentent également d’attirer des personnes fortunées
- Les problèmes sont dans les Etats que les contribuables fortunés quittent et non pas en Suisse
- Sans l’impôt d’après la dépense, la Suisse n’est pas attractive
- Les règles applicables à l’impôt d’après la dépense sont claires et publiques
- Les forfaitaires ne contribuent pas à l’augmentation du prix de l’immobilier